Amoureuses des fesses de femmes

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il y a 5 ans

Amoureuses des fesses de femmes

À dix-huit ans j’étais fascinée par les fesses de femme, moi qui suis juste devenue femme. Enfin je viens avec du retard par rapport à mes copines d’être réglée. Donc je suis devenue une vraie femme à dix-huit ans. Je ne rêvais que d’une chose, toucher, caresser des belles fesses de femme. Je n’ai pas besoin de frotter longtemps mon bouton pour partir quand je m’imagine à embrasser un beau fessier, ou admirer sur les magasines les superbes culs des mannequins. Comme je voudrais que ma bouche s’enfonce dans un postérieur, mais tout cela n’était que fantasme jusqu’au jour où Karine est venue à la maison pour les quelques jours de vacances. Nous avons échangé certains attouchements, le soir dans notre lit, qui se prolongeaient une partie de la nuit, ce qui nous laissaient les yeux cernés le lendemain matin, mais c’était les vacances heureusement. Karine est ma cousine, elle a pourtant six mois de moins que moi, elle est physiquement beaucoup plus mûre, mais je pense que je suis plus délurée qu’elle. Nous n’avions pas beaucoup l’occasion de nous voir, séparées par six cents kilomètres. C’est ainsi que nous avons préparées de merveilleuses grandes vacances.

Tout a commencé quand je l'ai embrassé dans un coin, elle n'a pas fait la sainte nitouche, bien au contraire. Et le soir, nous sommes allées plus en avant... Bien plus en avant... Je l'avais déshabillé entièrement et elle se laissait faire. Puis je baisotais ses oreilles et murmurais :

Il parait qu'entre femmes, c'est bien meilleur.

Elle ne répondit pas et me tendit sa bouche. Nos langues s'étaient déjà caressées une première fois, et là, elle se donna encore plus et s'abandonna sur la couche et durant que nos organes linguaux se titillaient mutuellement avec frénésie, j'avais déjà mes doigts sur son minou et même à l'intérieur. Puis ce fut à mon tour de me déshabiller puis nous nous sommes enlacées nues dans les draps. Comme c'était bon... Nous nous frottions l'une contre l'autre, nous caressant tour à tour et c'est même elle qui la première embrassa mes seins puis je sentis sa langue sur les pointes. Je lui dis :

Suce moi... ça me fait du bien... !

Nous roulâmes plusieurs fois l'une sur l'autre, ventre contre ventre, nous caressant cette fois les fesses. Je les pressais très fort, rien qu'à cette sensation, j'étais très excitée.

Tard dans la nuit, on s'est caressées mutuellement, recherchant sur nos boutons une jouissance qui venait doucement mais qui était bien meilleure que quand je le faisais moi mème. Puis fatiguées, nous nous sommes endormies. Puis quand Karine se leva, je l'agrippais. C'était la première fois que je voyais ses fesses de si près. Je lui dis :

Oh comme j'ai envie d’embrasser ton corps.

Elle se retourna et dit :

Il est tard. Nous devons nous lever car on pourrait s'inquiéter.

Mais j'avais eu le temps d'apercevoir dans son regard une étrange lueur. Elle croyait sans doute que je lui parlais de sa chatte, mais moi c'étaient ses fesses, mais peu importe. J'ai compris que ça ne lui déplairait pas.

Nous devions nous quitter le lendemain et il nous restait donc la nuit, nous n'avons pas attendu le soir. Ma mère étant sortie pour quelques heures, je ne sais pourquoi, j'eus envie de me précipiter avec Karine dans les toilettes alors que nous aurions aussi bien pu aller dans ma chambre ou même ailleurs puisque nous entendions f o r c é ment la voiture revenir. Dans les toilettes, c'était plus excitant. Elle s’est assise sur la cuvette, je me suis mise à genoux devant elle, j'ai baissé sa culotte alors qu'elle caressait ma chevelure. Bien qu'ayant pensé autrement, je me dis que je devais d'abord lui lécher le minou. Ce que je fis tout de go en introduisant mes doigts dans le creux de ses fesses. Karine ne se montra pas insensible à mes attouchements et je crois bien qu'elle jouit. Après un moment, je la regardais et portais mes doigts à mes narines. Je lui dis :

Comme il sent bon ton derrière.

Elle me regarda étrangement en se disant certainement que je suis un peu folle, elle remit de l'ordre dans sa toilette et nous sortîmes. J'étais peu satisfaite et je l'accostais de nouveau alors qu'elle s'asseyait sur le divan. De là, nous pouvions tout voir sans être vues. Nous pouvions apercevoir le portail s'ouvrir et la voiture pénétrer dans la cour. J'assaillais ma cousine et pris ses lèvres. Elle ne se débattait pas, mais je la sentais peu enjouée. Elle s'abandonna tout de même à mes caresses et à ma bouche dans son cou et sur sa gorge. Mais je compris ce qui la retenait. En fait, elle avait une peur bleue de ma mère. Ce qui l’amène à me dire timidement :

Nous n'allons pas gâcher nos vacances, attendons ce soir ma jolie, je ne suis pas tranquille comme chez moi.

En effet ce soir là, je fis ce que je voulais et elle se laissa faire. Nous nous fîmes jouir manuellement par devant, nues toutes les deux. Plus tard, elle a comprit mes attentes et moi j’ai pu déchiffrer qu’elle n’était pas si novice qu’elle ne le paraissait. Elle s’abandonne en se retournant, je regardais les deux mappemondes qui m’attiraient. Je m’installais entre ses cuisses. Je humais à plein nez sa douce odeur intime. Je me mis à caresser de deux doigts ses lèvres juteuses, les ouvrants délicatement tel un pistil de fleur. La chair était humide à souhait. Son bassin ondulait sous ma douce caresse. Je commençais à glisser ma langue sur sa chair liquéfiée. Je buvais sa douce liqueur. Tout en la doigtant, je constatais que mon doigt pénétrait plus facilement que dans ma petite grotte, je suçais les lèvres. La tête plongée dans l’oreiller, aucun son ne sortait de sa bouche à part les râles de son plaisir. Elle soulevait son derrière pour me donner plus d’aisance. Je pouvais enfin téter son clitoris et employer tout ce que je croyais bien faire, afin de l’amener à un orgasme. J’arrivais à mes fins et la belle hurla de bonheur me barbouillant de ses liqueurs intimes.

Je le sentais très chaude et allais progressivement dans la raie de son derrière. Le désir de goûter, de connaître la sensation, je m'en rapprochais et ce fut d'abord mon nez qui l'effleura. Sous mes attouchements, Karine se laissait faire, elle ronronnait de plaisir. Enfin, ma langue explora la rosette dont je f o r ç a is l'écartement. J'étais folle de joie et d’appétit et je me mis à gémir à mon tour.

Puis, par petites touches, je suçais, je me régalais, je serais restée là des heures, la tête enfouie à cet endroit. Ma cousine apprécia en remontant davantage son postérieur. Quand enfin je m'allongeais près d'elle, elle me souffla à l’oreille :

C'est bon ce que tu m'as fait... Je serais incapable de te rendre la pareille.

Ça n'a pas d'importance. Moi j'aime tant, et que tu me le fasses ne me procurerait pas autant de joie.

Mais tu n'as pas joui ?

Oh si... Je me suis caressée en même temps, je n’ai jamais eu autant de plaisirs.

Cochonne !

Qu'est-ce que ça peut te faire si tu aimes.

Oui, j'aime drôlement.

Alors je te le ferais durant toutes les vacances.

Tu plaisantes.

Non ! Je suis folle de tes fesses. J’en avais tellement envie depuis si longtemps !

De lécher mon derrière ?

Oui ! Lécher l'intérieur de tes fesses, j’ai juste porté mes doigts à mon bouton et je suis partie toute seule.

Tu es quand même cochonne.

Ça va être comme ça toutes nos vacances, si tu le veux bien !

Oui Sophie, et ma mère est tellement plus cool que la tienne.

Je sais que ta mère est mille fois plus sympa que la mienne, c’est pourtant sa sœur. Ma mère ne tient pas trop que je parte là-bas, elle dit aussi que ta mère aime les femmes, tu crois que c’est vrai ?

Non seulement je le crois, mais j'en suis sûre. Et c'est pourquoi, même si elle nous prenait en défaut, elle ne nous en voudra pas... Mais tu verras je pense que tu auras des surprises.


Alors ces vacances chez ma cousine allaient être pour moi ce que jamais je n'aurais osé ni imaginer, ni espérer.

Cette merveilleuse tante Françoise, trente-huit ans, deux ans plus âgée que maman, elle a un air de famille évident, mais on voit dans son visage un très net épanouissement qui n’existe pas chez ma mère. Tante m'embrasse avec tendresse à la gare où elle est venue me chercher avec Karine. Durant le parcours qui mène à la propriété, nous restons enlacées ma cousine et moi, sa mère n’a pas l’air d’en tenir rigueur. Elle a du nous voir dans le rétroviseur. Ma copine me murmure :

Maman nous laissera faire tout ce qu'on veut, elle a entièrement confiance en moi.

Il faut dire que ma tante habite une très grande et jolie maison dans la banlieue de Montpellier, Elle est divorcée et mon oncle lui a laissé la maison. Elle vit très à l’aise. Le premier soir, je m'en donne à coeur joie avec Karine qui s'abandonne nue à toutes mes caresses...

Tu crois que ta mère s'imagine pour nous ? Lui demandais-je.

Peut-être, mais quelle importance.

Je voudrais te demander...

Oui ?

J’ai constaté qu’il y a entre vous deux une relation très particulière, tu n'as rien fait avec elle ?

Ma cousine parait un instant embarrassé. Puis elle dit :

Juste quelques attouchements mais sans plus. J'aime autant le faire avec toi. Je pense qu’elle doit préférer les femmes de son âge et puis c’est ma mère.

La curiosité est plus forte que moi, je veux savoir :

Mais qu’as-tu fait avec elle exactement ? J’ai envie de savoir, dis-moi ?

Avec maman, bof, juste quelques caresses une fois, dans le lit, un jour où nous étions un peu déprimées. Par contre, il nous arrive souvent de nous embrasser sur la bouche.

Tu crois que je pourrais faire quelque chose avec elle, si tu n’es pas jalouse ?

Et bien tu n'as qu'à te laisser aller quand elle t'embrasse et tu verras bien. Et je ne suis absolument pas jalouse, au contraire maman m’a appris à jouir du bonheur de ceux que l’on aime. Je ferais tout pour que ton séjour ici soit pour toi un vrai paradis.

Merci ma Karine, j'ai envie de folie, des fesses de femmes, je voudrais en trouver une en particulier, belle avec un fessier d’enfer.

Je n'en finissais pas de poser des questions à Karine et après nous êtres bien faites jouir mutuellement, nous nous endormons.

La journée s'annonce belle et à neuf heures et demie, il fait déjà chaud. Nous déjeunons sur la terrasse. Tante m'embrasse. Je m'abandonne mais elle n'insiste pas trop. Elle porte un déshabillé qui lui va à ravir et sous lequel je devine des formes pleines. Nous sommes face à face, Karine sur le côté. Ma tante porte des lunettes de soleil et nous regarde sans que nous puissions voir ses prunelles. C'est plus mystérieux.

Tout de suite, je me suis sentie très libre avec tante Françoise. Il y a déjà comme une sorte de complicité entre nous, pas tout à fait la mème entre elle et sa fille. C'est du genre, « moi je vis ma vie, fait de même si tu en as envie »

Bien dormi toutes les deux ? Bien reposées ?

Nous répondons ensemble par l’affirmative. Elle ajoute :

Ici chacun est libre de faire ce qui lui plait ! Tu es ici pour passer tes vacances et pour profiter de la piscine et du bon air. Je te demande simplement ma petite Sophie de ne pas répéter tout ça à ma chère sœur, tu sais comment est ta mère !

Ce soir, je donne une petite soirée avec des amies, si vous voulez en faire partie, vous êtes les bienvenues ? Je sais que mes amies ne sont pas de votre âge, mais ce n’est pas une obligation. Sinon vous pouvez sortir en boite.

Karine s’informe auprès de sa mère pour mon plaisir :

Maman, ce soir, il y aura du monde ?

Je... Je ne sais pas, ce sont presque toujours les mêmes que tu connais. Tu as expliqué à Sophie

Heu... Oui... Enfin non. J’ai tout le restant de la journée pour lui exposer tes soirées un peu spéciales.

Tante Françoise semblait un peu gênée sur le moment. Nous passons effectivement la journée à se détendre dans et autour de la piscine, alors que sa mère est allée faire les courses. Karine me raconte ce que sont ces fameuses soirées. Quand tante revient vers dix sept heures, on l’aide à ranger les provisions, elle nous donne quelques précisions :

Ce soir il y aura pas mal de monde, il y aura trois ou quatre nouvelles d’après ce que je sais, ce qui fait que nous devrions êtres une vingtaine. Je vous propose de faire le service en échange d’un bon billet, il suffit de remplir les verres à la demande. Vous êtes d’accord ?

On se regarde avec Karine et clamons un oui avec la bouche en cœur.

De toutes façons vous ferez ce que vous voulez tant que toutes les invitées ne sont pas en manque de boissons.

Maman, comment on s’habille ?

Il me tardait de vivre cette soirée malgré un trac fou. Le soir, nous nous sommes donc vêtues et maquillées dans la chambre de Karine, peut-être d'une manière trop voyante, mais après tout, nous avions l'air de vraies femmes tout en restant des ados. Nos robes longues et nos maquillages très accentués en étaient que plus outrageants. Enfin prêtes, nous descendîmes, Karine me dit :

Il y aura peut-être une jolie femme avec un cul pas possible, qui te tapera dans l’œil.

Il y avait seulement deux femmes présentes qui babillaient sur un sofa. Nous mettons notre rôle à exécution en leur demandant ce qu’elles désirent comme boisson. Les invitées arrivent tranquillement, les unes seules et certaines en couples. Elles glissent de généreux billets dans une petite tirelire placée à l’entrée et commandent du champagne. Le grand réfrigérateur en est pourvu ainsi que d'autres boissons alcoolisées et jus de fruit. Nous avons juste à mettre les verres, la bouteille et elles se débrouillent.

Quand tante Françoise fit son entrée, elle nous félicita pour notre tenue, je sentis son regard peser sur moi, ne pouvant résister, je baissais les yeux. Elle mit son index sous mon menton pour relever mon visage puis déposa un baiser léger sur mes lèvres et alla rejoindre ses amies. Une musique de danse lente et légère emplissait le vaste salon. Un couple de femmes évolue dans un slow prometteur.

Tout en faisant ce qui nous a été demandé, j'observais les personnes présentes, j’étais folle à l’idée de pouvoir m’en faire une, mais ce n’était qu’un fantasme, puis ma tante qui venait de m'embrasser, j'avais encore la saveur de ses lèvres sur les miennes.

Karine me sort de mes rêves :

C'est chaque fois différent, mais un peu la même chose. Les couples se forment, dansent, s'embrassent, se font des choses, enfin se caressent. Dit-elle en secouant les épaules.

Nous observons les invitées en papotant quand Karine me tape du coude :

Oh Sophie ! Ton rêve... C'est une femme comme ça qu'il te faut.

Il n'était pas possible que cette magnifique créature qu’elle me montre du menton n’ait pas entendu. Je devins rouge de confusion. Je me demandais vraiment à quel jeu jouait Karine, je sentis le regard de cette femme peser sur moi. Je baissais la tête, elle était tout près, à quelques pas de nous. Elle s’approcha et se mit à me caresser le cou, les joues, puis son visage s'approcha du mien et je sentis ses joues me frôler avant que ses lèvres se posent sur les miennes en un court mais tendre baiser. J'eus juste le temps de sentir ses lèvres pulpeuses et un peu mouillées. Puis elle revint à sa place comme si de rien n'était. Karine semble connaître pas mal de monde, elle me présente puis les convives cherchent une place pour s’asseoir.

Je ne peux m'empêcher d'aimer cette ambiance tamisée où flottent des odeurs de parfums féminins. Deux couples évoluent sur la piste. Rien qu'à les voir danser, je frissonne, deux femmes entre elles, c'est doux, c'est tendre, joue contre joue, corps contre corps. J'ai envie de danser alors j'invite Karine. La preuve est faite que personne n'a besoin de nous. Les habituées arrivent, versent leur obole, puis se servent une boisson. Après avoir dansées tendrement et étroitement enlacées Karine et moi, retournons dans notre petit coin. J'aime bien car nous pouvons voir tout ce qui se passe et personne ne nous juge. J’admire mon béguin, je n'ai d'yeux que pour elle dans sa longue robe fourreau de velours noir qui la moule à ravir. Elle salue presque toutes celles qui sont là, allant de tables en tables pour enfin revenir près de nous.

Ça va les filles ?

Oui, oui. Répond Karine

Elle nous fait un clin d'oeil puis nous demande de lui servir une autre coupe.

C'est le moment de trinquer. Nous dit-elle en me regardant dans les yeux.

Mon s a n g ne fait qu'un tour. Je suis gênée. Cette merveilleuse femme, les cheveux à la garçonne lui donne comme un air rétro, des seins émergeant d'un bustier à vous en couper le souffle. Tante Françoise me sort de ma contemplation en embrassant la divine créature sur la bouche. Ma tante me sourit en voulant dire : « Ne t’inquiète pas ici tout est permis » Elle me présente :

Ma nièce Sophie, elle est toute fraîche, alors doucement s’il te plait.

Puis s’adressant à moi :

Sophie, je te présente Fabienne, fait bien attention à elle, c’est une sorcière.

Ensuite ma tante tourne les talons pour rejoindre d’autres personnes. Décidément, je me dis que ce monde de dames est un monde à part. Moi, qui suis-je au milieu de toutes ces femmes. Es que je ressens assez d'attirance pour la femme pour pouvoir affirmer que moi aussi je fais partie de cette « gente » toute spéciale. Je me sens comme frustrée mais je ne me dégonfle pas, je m'approche de Karine et plaque mes lèvres contre les siennes. Nous mélangeons nos langues avec désir. Je l’entraîne pour aller danser. Notre complicité ne fait plus aucun doute. Je voulais montrer à cette Fabienne que je ne suis pas de la campagne.

Je prends le temps d'admirer les danseuses. Il y en a de très jolies. Tout en dansant, je glane ça et là un sourire, une mimique qui en dit long. Je crois que pour danser avec une autre, il faudrait que nous retournions à notre place et attendre. Le résultat ne se fait pas attendre. Ma cousine est invitée la première. La fort jolie femme qui danse avec elle n'en finit pas de la caresser, la cajoler et je croise même à un moment le regard absolument neutre de sa mère qui l'a vue, elle me jette un petit clin d'oeil et son plus beau sourire. Je ne cesse d'admirer les jeux des danseuses qui se caressent, se pelotent même les fesses souvent étroitement gainées. Plus nous avançons, dans la soirée, plus l'ambiance se détend et c'est peu dire. Des poitrines jaillissent de temps à autres, grosses, oblongues, pétries par des doigts agiles, puis retournent plus ou moins sous le corsage. C'est une ambiance quelque peu échevelée et pourtant calme, bercée par la langueur de cette musique douce.

La musique change, laissant sa cavalière, Karine revient à mes cotés. Je lui dis :

Tu sais, j'ai flashé pour cette Fabienne. C'est tout à fait mon type.

Tu veux que je l'appelle ?

Non. Tu peux lui parler de moi, enfin de nous.

Tu n'as qu'à rester là !

À peine Karine est repartie qu'une fort belle dame m'aborde.

Je suis Nadine. Une amie de la mère à Karine, voulez-vous ?

Il n'est nullement question que je me fasse prier, je me lève et la croqueuse m'entraîne vers la piste. Tout de suite, elle fait en sorte que nous dansions très étroitement serrées, l'une contre l'autre. Je n'ai rien contre, je m'abandonne complètement. Puis elle me dit :

Tu sais que tu me donnes des envies toi ?

La femme me serre si tendrement que j'en suis pantoise. Elle me baisote dans le cou puis se met à lécher mes oreilles. Je lui rends la pareille et nous nous parlons comme ça à voix basse. J'ai envie de lui dire mille choses, de tout lui dire, mes souhaits ardents. Quand elle me murmure :

Toi, tu as envie de moi.

Heu. Oui...

J’essaie de faire les mêmes gestes mais très maladroitement. Elle reprend la parole :

En dehors de Karine, tu n'as jamais été avec une femme ?

Non.

Tu veux me raconter ce que tu fais avec elle ?

Non.

Tu as vu Françoise ?

Elle était là tout à l'heure.

Tu te doutes de ce qu'elle fait. Tu aimerais ça toi.

Quoi ?

Etre aimée par une vraie femme.

J'avoue que ça me tente. Mais je ne sais pas trop.

Alors maintenant, dis-moi ce que vous faites avec Karine.

Finalement, je risque quoi à lui déballer mes petites aventures, alors je me lance.

Ce que j'aime le plus, c'est la sucer. Jaime bien la faire jouir avec ma langue. Ce que je préfère, ce sont ses fesses. Je suis folle de ses fesses.

Oh toi alors, tu m’épates !

Tu me demandes, alors je te dis.

Tu lui lèches la raie de son derrière.

Oui, j'adore. Je passerais des heures à le faire.

C'est fou ça une jeune fille comme toi qui parait si sage ! Tu aimerais le faire à une femme ? A moi ?

Nadine me serre si fort que je crois étouffer. J'en ai presque envie de pleurer de bonheur. Alors je murmure au creux de son oreille que j’embrasse presque en même temps :

Tu me rends folle, folle de désir, du désir de toi, de tout ton corps.

Je vois que ton amoureuse te cherche, tu devrais aller la voir.

Oh je t'en prie, reste avec moi !

Ma cavalière se détache de moi et me laisse rejoindre Karine. Elle a ramenée Fabienne à notre petite table.

Avec Fabienne, nous avons parlé un peu de toi et elle serait ravie de te servir de monitrice dans le domaine qui te tient à cœur.

Je pique un phare énorme, une sorte de honte m’envahie, j’aurais voulu fuir, mais Fabienne me prend dans ses bras en me caressant les cheveux. Cette fois, c’est moi qui prends sa bouche. Nos langues lutent un moment. Dans les bras de Fabienne, je fonds littéralement. Un long moment de silence me permet de me laisser griser par la musique. Nous allons danser joue contre joue et je frémis à la moindre caresse. Je me demande combien de temps nous serions restées ainsi, sans un mot. Elle approche sa bouche de la mienne pour se mettre à la dévorer par petites touches, à plonger sa langue et rejoindre enfin la mienne qui l'accueille en louvoyant. Nos lèvres restent ainsi un moment soudées alors que nos langues s'en donnent à coeur joie en même temps qu’elle laisse sa salive que je crois bon d'avaler. Puis je sens ses doigts écraser mes fesses à travers le tissu fin de ma robe. Je m'abandonne totalement à elle, je sens que je mouille intensément. Enfin nos bouches se séparent, elle me sourit. Pas un mot jusqu'ici, je prends l'initiative de murmurer :

Je n'ai encore jamais rendu hommage à une vraie femme, je veux bien le faire avec toi.

Alors, tout en dansant, Fabienne m'entraîne vers la porte du fond. Là, je connais un peu les lieux. Une petite entrée qui donne sur deux cabinets et deux autres portes sur deux petites pièces particulières. C'est vers l'une de ces portes que m'entraîne Fabienne Elle referme la porte à clé derrière nous, puis elle me serre très fort, nous nous vautrons sur le petit lit divan qui est certainement là pour la circonstance et elle me dit :

Ici, on peut faire ce que l'on veut. C'est une règle absolue, on ne sera pas dérangées. C'est la première fois que je vais avec une fille aussi jeune que toi. Tu me donnes l'eau à la bouche. Déshabilles-toi vite ! J'ai une terrible envie de toi !

Très excitée, je fais ce qu'elle me demande alors qu'elle-même a déjà retirée la moitié de ses vêtements. Elle reste en bas et porte-jarretelles. Ses seins sont magnifiques d'opulence et de fermeté à la fois. Elle me laisse les caresser un instant, alors que nos bouches et nos langues s'en donnent à coeur joie, puis elle m'allonge sur le divan et se met à genoux devant moi. Sa main droite prend ma chatte dont elle caresse les lèvres, puis soudain, elle y plonge son visage. Sous sa langue, je ne tarde pas à partir. Puis elle dit comme une folle :

Oh c'est bon, c’est trop bon !

Moi je frétille de bonheur dans tous les sens. Je sens un doigt pénétrer mon petit trou. Jamais avec Karine je n'avais joui de cette manière. Le doigt imprégné de ma mouille me pénètre un peu plus, puis soudain, Fabienne le retire et me donne à sucer. Ma tête chavire, je dois avoir les yeux exorbités. C'est je ne sais quoi, le vertige, alors je murmure en râlant presque :

C'est toi que je veux !

Alors Fabienne place un coussin sous ma nuque puis elle vient à califourchon sur mon visage. J'ai juste le temps d'apercevoir ses deux très jolies fesses bien rondes qu'elle écarte, mon nez se retrouve enfoui dans sa raie culière, je m'empare de la coquille toute juteuse, ma langue pénètre en un « floc » et commence de virevolter. Fabienne s'est redressée sur moi, elle se contente de me caresser la vulve en criant :

Ho oui... Oui... Ma petite... Comme c'est bon... Comme tu le fais bien.

Je n'ai pas eu de mal à trouver le bouton que je me suis mise à flatter doucement de la pointe de ma langue. Dans le même temps, j’écarte d’avantage ce magnifique fessier pour que mon nez tente de pénétrer l’étoile. Je suis vraiment aux anges. Je mouille intensément. Fabienne dit avec douceur tout en se trémoussant sur mon visage :

Tu es bien là ? Ce n’est pas trop fort ?

J'extrais juste un instant mes lèvres pour dire :

C'est merveilleux, vous ne pouvez savoir combien c’est bon.

Si je sais mon ange, mais pour toi, je ne trouve pas les mots, tu es si fraîche.

Je ne réponds pas mais presse seulement les fesses de mon aimée. Je me crispe de plaisir alors que ma bouche s'emplit soudain d'une petite coulée. Je gémis de désir, me crispant toute, remuant du bassin, sentant dans le même temps la bouche de Fabienne sur ma vulve. Il n'y a pas de mots pour décrire ma félicité. Une langue agile suce ma chatte que je sens toute coulante. Une sorte de jouissance latente me tient toute en permanence alors que mon visage est enfoui entre les fesses d'une si jolie femme, comme je l’ai tant rêvé. Mes râles emplissent la pièce. J'absorbe, non, je me délecte du fluide qui jaillit tout en caressant les magnifiques parties charnues, je les écarte encore plus, introduisant mon nez dans l’anneau qui fleure si bon et dans lequel je voudrais plonger toute entière. Elle se redresse enfin et son visage effleure le mien, puis elle prend mes lèvres nullement dégoûtées et nos langues se joignent encore, puis elle murmure :

Toi au moins, on peut dire que t'aimes ça.

Oui et tu ne peux savoir à quel point.

Comment je peux te remercier ?

Avec une vraie femme comme toi, je ne l’oublierais jamais tu sais.

Beaucoup de femmes ici seraient heureuses de faire ce qu'on vient de faire. Moi j'ai jouis comme pas une. Maintenant, il faudrait qu'on retourne si tu veux bien.

Oui mais pas avant ça...

C'est moi cette fois qui oblige ma chérie d’un soir, à se retourner en se plaçant à genoux sur le divan, la croupe bien en évidence. Je lui murmure à l'oreille :

Laisse-moi encore t'admirer et goûter ton joli petit cul.

Oh toi alors. Oui, aller, vas, mange bien ma rosette.

Fabienne arrondit du mieux qu'elle le peut toute sa croupe offerte j’enfonce mon visage, je pointe ma langue dans la bague qui s'ouvre. Je ne peux m'empêcher de me caresser tout en gémissant. Nous restons ainsi encore quelques trop courtes minutes. Nous nous sommes vêtues remis de l’ordre dans notre maquillage pour retourner dans la salle. En sortant elle me dit :

Merci pour ce merveilleux moment.

Nous sommes donc à nouveau en bonne compagnie, Fabienne reste un moment avec moi avant de rejoindre la piste de danse. Je vois Karine qui est tendrement enlacée dans les bras d’une jeune femme, elle me fait signe de m’approcher et me dit :

Alors, c'était bon ?

Délicieux !

Sur la piste et dans l'ensemble de la salle règne une ambiance aussi démesurée que possible. Beaucoup de femmes sont dépoitraillées. D'autres exhibent franchement leurs seins. Certaines se frottent à leur partenaire d'une manière éhontée, se malaxant réciproquement leurs fesses, leurs cuisses alors que des mains retroussent de courtes jupes ou mises à nu des postérieurs rebondis. Lorsque tante Françoise m’accoste :

Ça va toi ?

Elle me pose cette question d’un air moqueur, il est indéniable que Fabienne lui a parlé de moi mais peu m'importe, je suis dans une excitation latente, ma gorge est nouée en permanence.

Oui, oui je vais bien merci tante.

Je pense que ma petite aventure a déjà fait le tour de l’assistance, ça me fait frissonner. Je sens soudain la main de ma tante qui m'entraîne vers son canapé. Elle m’invite à m’asseoir et en fait autant à coté de moi.

On continue au Champagne ? Me demande-t-elle les yeux chatoyants.

Oui, il ne faut pas casser le rythme.

Nous sirotons notre verre, puis elle m’entraîne sur la piste. Je tremble de tous mes membres. La mère de Karine me presse dans ses bras, nous dansons et je me laisse guider, joue contre joue. Je sens ses baisers fous et ardents dans mon cou, elle me prend le menton entre le pouce et l’index, elle me regarde franchement dans les yeux.

Alors ?

Son regard est interrogateur, je ne sais quoi dire, je suis trop émue Françoise le sait.

Je te comprends, c'est tellement nouveau pour toi. Je crois que tu aimes bien cette ambiance n’es pas ?

Oh oui tante.

Et Fabienne, elle t’a plu ?

Je ne sais plus où me mettre tellement je suis rouge de confusion. Mais ma tante me serre plus fort dans ses bras et soudain je sens ses lèvres sur ma bouche, je m’abandonne à elle ainsi que tout le reste de mon corps. Elle poursuit :

Tu n'as pas à avoir honte, je ne veux que ton bonheur, si tu veux vivre encore des moments de bonheur, alors laisses-toi aller.

Je ne peux m'empêcher de murmurer :

Je t’aime tante, tu es tellement différente de maman, tu es ma reine, je donnerais n’importe quoi pour être la sœur de Karine !

Je veux que tu sois libre. Libre comme l'air et... Heureuse.

Il faudra bien que je retourne chez moi.

Françoise paraît songeuse un court instant, puis elle fait :

S’il te plait, tu oublies ta mère le temps que tu vas passer chez moi, d’accord !

Mes yeux sont baignés de larmes tellement je suis heureuse. Elle ajoute dans un souffle :

C'est toi que je veux... Oui ! ... Oui mon ange ! ...

Elle passe ses doigts sur mes lèvres puis en enfourne deux dans ma bouche. Machinalement, je les suce.

J'ai envie de ta petite bouche partout !

Ma tante semble tout aussi excitée que moi, le champagne, l’ambiance. Je réponds du tac au tac

Partout où tu voudras...

Tout en dansant on s’approche de la porte du fond, je ne peux m'empêcher de palper son fessier tout en pensant que c’est quand même la sœur de ma maman. Je constate toutefois combien les deux mappemondes sont rondes sous la robe fine de satin. J'en bave d’envie. Nos bouches se joignent encore.

On longe le long couloir qui dessert quelques chambres et autres servitudes pour arriver dans une petite chambre d’amis décorée très coquettement. On s’embrasse, ma tante entreprend vite de me dénuder. Je me laisse faire bien évidemment puis à son tour elle se met nue également. Sous la faible lumière, je vois combien ce corps est merveilleux, j’en reste bouche bée. Des jambes longues, des hanches larges, des seins pas très gros enforme d’obus, à peine plus gros que les miens, impeccablement balancés, un corps intégralement bronzé. Le triangle noir parfaitement taillé sur une peau parfaite,

Tu es sublime tante ! Vraiment, je...

Arrête Sophie, je n’ai plus ton age. Me répond-elle.

J’ai une féroce envie de lui sauter dessus pour me régaler d’elle, mais je veux avant tout lui plaire, la séduire, ce n’est pas la même chose qu’avec Fabienne, c’est ma tante et je l’aime... Presque d’amour. Ses seins s’écrasent sur ma poitrine tandis que ses mains se mettent à palper mes cuisses.

Qu’est-ce, que t’es bien foutue Sophie, tu es plus douce que de la soie.

Et toi, ta peau et ton odeur m’excitent !

Nos gestes deviennent plus osés, quand sa bouche englobe mes tétons, les croquent et les aspirent.

Tu me laisses m’occuper de toi ? Me demanda t-elle

Nous investissons le grand lit. Elle m’allonge sur l’édredon douillet, écarte mes cuisses, offrant mon minou, elle ne tarde pas à l’assiéger.

Hum... Quelle douceur...

La langue de Françoise me lèche avec gourmandise, ce qui me fait gémir assez fort. Ce traitement de choix se poursuit durant une bonne dizaine de minutes avant que je perds patience, exténuée, je manifeste l’envie de goûter à mon tour à ce fruit tant désiré. Je m’approche avec hésitation et commence à lui caresser la chatte avant d’aller plus loin. La touffe bien taillée lui recouvre le pubis jusqu’à l’oeillet et cache à peine les grandes lèvres très charnues. Ma tante ferme les yeux, j’approche mon visage. La forte odeur qui s’échappe provenant de la danse et de la chaleur, m’attire encore plus. Ma langue effleure le clitoris j’écarte ses grandes lèvres de deux doigts, pour enfouir carrément ma langue dans la caverne. Tante sursaute en se prenant vite au jeu et cette odeur âpre qui se renf o r c e de plus en plus finit rapidement par m’exciter terriblement, le jus est aussi généreux que les senteurs ! Je continue de m’en délecter et m’applique à bien faire, je ne veux surtout pas la décevoir.

Tante, s’il te plait, mets-toi à quatre pattes.

Sans la moindre contrariété, Françoise se plie à mon désir et m’offre sa magnifique croupe. Je coince rapidement mon visage entre ses fesses, ma langue se remet à l’ouvrage. Cette fois-ci, ma tante se laisse aller complètement au plaisir. Tout à l’heure, elle avait bien essayé de se contenir un peu, mais là, les complaintes qu’elle laisse échapper ne font plus aucun doute. Je lui saisis les miches, remonte ma langue sur sa rosette. Tante n’objecte pas, pas avant qu’elle ne sente que j’entre un doigt dans son derrière.

Heu... Sophie,

Qu’y a-t-il ma douce, ce n’est pas bien ce que je te fais ?

Oh si ! Mais...

Alors laisse-toi faire !

Oui !

À peine a-t-elle accepté que je lui rentre directement ma langue dans la rosette et deux doigts dans la chatte l’envoient au septième ciel. Ma tante est déchaînée et ce ne sont pas moins de deux orgasmes successifs qu’elle subit et le troisième va être phénoménal.

Oh que c’est bon ! Vas-y, continue, continue, continue... Ouiiiii !

Sa jouissance est terrible, mais à peine ses vocalises se sont tues, qu’un son étrange siffle à mes oreilles en accord parfait avec une giclée je prends en pleine figure et d’un torrent qui se déverse sur son corps et sur le lit !

Mais qu’est-ce que tu mouilles tante !

Oh pardon Sylvie ! Je ne pensais pas que ça arriverait. C’est que tu m’as tellement fait jouir... C’était sublime !

C’est que je ne m’y attendais pas. Mais c’est très impressionnant !

On s’est étendu sur le lit, ma tante me complimente :

Eh bien dis donc, si on m’avait dit ça de toi.

Je te surprends à ce point, je pense que je suis comme Karine, j’aime seulement les fesses beaucoup plus qu’elle.

Hum, je suis sûre qu’on va bien s’amuser toutes les deux... Me lance t-elle en me caressant.

Je l’embrasse, et approche ma bouche de son oreille.

Tante, je crois que j’ai envie de faire pipi, je reviens dans deux minutes.

Je te suis dans la salle de bain, tu vas adorer !

Ma tante me prend par la main, m’entraîne énergiquement dans la grande cabine de douche

Tu vas voir comme c’est bon !

Au comble de l’excitation j’obéis avec un plaisir non dissimulé, mais je me demande quand même où elle veut en venir.

Tu vas faire ton pipi sans t’occuper de moi. Vas-y, laisse-toi aller, ne te retiens pas...

Oh je n’ose pas tante !

Vas-y, mon petit chou, vas !

Elle met sa main sur mon bas-ventre et exerce une pression pour m’aider à me soulager.

Oh tante, je me sens partir, je peux plus me retenir...

Françoise me saisit fermement et me plaque contre la paroi, elle se colle littéralement contre moi pour ressentir le long jet de liquide chaud qui s’écoule de mon intimité et qui inonde nos cuisses. Sans même toucher nos sexes, nous jouissons, je réalise que je viens encore d’avoir une nouvelle expérience, quelle soirée ! Délicatement, on se laisse choir en se donnant un baiser qui va transformer cette aventure en union de rêve pour toutes les deux.

Je suis contente d’être amoureuse de toi.

Ma tante à cet instant est plus qu’aux anges. Elle m’embrasse tendrement et fait couler la douche, une douche bien réconfortante.

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